http://www.europe1.fr/Info/Actualite-France/Justice/Le-magistrat-de-l-affaire-Festina-sous-les-verrous/(gid)/162129http://www.europe1.fr/Info/Actualite-France/Justice/Le-juge-de-l-affaire-Festina-revoque/(gid)/233418Cette histoire nous interroge.[/b]
Des correspondants de toute la France nous informent de leurs positions :
Anonyme. 1 il est juge, il est là pour prendre des décisions. S'il a un problème, il se soigne. S'il fait partie des assistés que sont les français, il choisi une autre administration. 2 quelqu'un qui veut bosser mais qui a un problème d'alcool boit au travail, il ne déserte pas son job. Là il s'en moquait éperdument. Or il ne travaille pas dans une usine d'épingle, il est juge. Il a entre les mains le sort de centaines de personnes et il n'en a eu RIEN A SECOUER. Alors pourquoi autant de sympathie ? C'est pas le premier fonctionnaire à pas prendre son job au sérieux. Il a fait des trucs bien ? Comme tout le monde. C'est pas une excuse à tout. S'il reveut le job il se représente. S'il a le niveau, il l'aura.
Pico 78 - le 24/07/09 à 17:43
Pour tous ceux ou celles qui s'apitoie sur le sort du "pauvre" juge ne vous en faite pas il était comme tous les autres, arrogants et savait tout sur tout, la preuve c'est qu'il n'y a pas eu grand monde pour le sortir de là; et puis comment peut on donner de telles responsabilités (droit d'enfermer des gens) à quelqu'un d'aussi faible. Des problemes de divorce sont la part de nombreuses familles qui heureusement ne sombrent pas toutes comme cela. Etre un haut fonctionnaire demande des qualités que ce monsieur n'a visiblement pas.
http://www.wikio.fr/news/Patrick+KeilCe qui est de l'ordre de nos préoccupations, c'est ce qu'écrit Yves Bordenave dans les médias spécialisés du Web :
"En 2004, il est muté au parquet de Montpellier. Sa famille reste à Carcassonne. "Là, on m'affecte au service pénal des divorces. Toute la journée, je voyais défiler dans mon bureau des gens qui avaient les mêmes problèmes que moi. Ce que je vivais sur le plan personnel se reproduisait au boulot", déplore-t-il. Au tribunal, les collègues l'évitent. "J'étais le chat noir."
Seul, loin de ses enfants et de ses proches, Patrick Keil s'enfonce dans le désarroi : "N'ayant plus aucune oreille attentive, j'ai trouvé des amitiés dans des endroits où je n'aurais pas dû aller... Et je suis descendu de la gêne à la misère." Keil boit et dépense sans compter."
En effet, Patrick Keil traitait les affaires pénales des divorces...
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